Hybrid Theory

Couverture de l'album Hybrid Theory

Hybrid Theory est le 1er album de Linkin Park sorti en Octobre 2000.

8,7 millions de copies ont été vendues en première année et au final, il a été vendu a plus de 20 millions d’exemplaires dont 10 millions rien qu’aux Etats-Unis.

Tracklist

1.  Papercut
2.  One Step Closer
3.  With You
4.  Points Of Authority
5.  Crawling
6.  Runaway
7.  By Myself
8.  In The End
9.  A Place For My Head
10. Forgotten
11. Cure For The Itch
12. Pushing Me Away

La version Japonaise a en plus les chansons suivantes :

13. My December
14. High Voltage

Single

Aux Etats-Unis, 4 singles ont été sortis :

- One Step Close
- Crawling
- Papercut
- In the End

Seul le dernier est sorti en France et c’est lui qui a fait connaître le groupe ici.

L’album Reanimation est composé de remix des morceaux de ce produit.

Ecoute

Retrouvez les morceaux sur Deezer.

Origine du nom

Hybrid Theory aurait du être le nom du groupe. Cependant, un autre groupe était déjà prénommé ainsi et ses membres ont été obligés d’en changer.

Il fait référence au mélange de genre rock et rap qui caractérise le style musical du groupe que l’on ne peut ni classer en rap ni en rock..

Critique

L’écoute de cet album fut pour moi un vrai choc.

D’abord, on remarque les mélodies : ça bouge beaucoup et vite.

Leur recette de mélange rock / rap marchent très bien : le flow rap de Mike Shinoda est vif et cinglant alors que les chants de Chester Bennington sont plus précis et techniques. Le rajout de scratch de Joe Hahn augmente le contraste entre les deux pratiques.

Les paroles ne sont pas en restes et sont à la hauteur de la musique qu’elles accompagnent. Alors que l’on s’attendait à une relative platitude, une partie des morceaux sont touchants de tristesse au travers du profond mal-être qu’elles relatent.

Ce court extrait des paroles de la chanson In the End traduit parfaitement cette sensation : « I tried so hard / And got so far / But in the end / It doesn’t even matter /I had to fall / To lose it all / But in the end / It doesn’t even matter” ou dans By Myself : “Do I trust some and get fooled by phoniness / Or do I trust nobody and live in loneliness? / […]make the right moves but I’m lost within / I put on my daily facade but then / I just end up getting hurt again / By myself [my self] / I ask why but in my mind / I find I can’t rely on myself”.

Voici un autre extrait lui fait référence à un souhait d’indépendance, à la limite de la violence : “I’m sick of the tension, sick of the hunger / Sick of you acting like I owe you this / Find another place to feed your greed / While I find a place to rest” (place for my head). 

Ces deux points expliquent pourquoi beaucoup de critiques considèrent cet album comme une musique d’adolescents. Il serait pourtant dommage de se priver de l’écoute de cet album pour un prétexte aussi surfait. 

Divers : 

A noter que le bassiste Dave Farrell n’était pas présent lors de l’enregistrement car il était en tournée avec son autre groupe The Snax.  Le groupe a embauché Scott Koziol et  Ian Hornbeck.

Galerie

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