Hors Collection (nobi nobi !)

1000 vents, 1000 violoncelles (nobi nobi !)

Deux enfants lient connaissance durant leur cours de violoncelle. Après avoir joué ensemble sur le chemin du retour, ils croisent un nombre incroyable de personnes portant avec eux leur violoncelle. Curieux de savoir où tous ces gens convergent, ils les suivent jusqu’à une salle de répétition où ces musiciens s’inscrivent pour préparer un concert de soutien pour la reconstruction de Kôbe suite au tremblement de terre de 1995. Bien que le jeune garçon n’ait pas directement été touché par la catastrophe, il va s’inscrire pour accompagner sa jeune amie qui, elle, semble très concernée par cet évènement.

Bonolon – L’île de la Tortue (nobi nobi !)

Bonolon, le gardien de la forêt qui exauce les vœux des animaux ou des hommes en détresse, fait son retour à travers 5 nouvelles histoires passionnantes abordant des thèmes variés et profonds.
Le titre de cet ouvrage reprend celui de la première histoire qui nous raconte la mésaventure d’une jeune tortue qui retourne sur son île natale et découvre qu’il ne reste rien de la végétation luxuriante qu’il y avait dessus. Les hommes ont rasé la forêt et, sans elle, la pluie a raviné la terre jusqu’à la roche. La petite tortue demande de l’aide à Bonolon pour l’aider à reverdir ce sol rocailleux devenu stérile, mais le prix à payer sera lourd.

Bonolon, le gardien de la forêt (nobi nobi !)

Bonolon est un géant qui vient de Tasman, il communique avec les arbres et apparaît pour exaucer un souhait lorsque des larmes humaines atteignent les racines d’un arbre. Malgré ses grands pouvoirs magiques, Bonolon a ses limites, il ne ressuscite pas les morts, mais il sait voir les vrais besoins de ceux qu’il souhaite aider. La magie ne résout pas tout, il faut parfois simplement un peu de patience pour guider les gens afin de les aider à trouver leur propre solution au fond d’eux-mêmes.

Daisy l’apprentie sorcière (nobi nobi !)

Daisy prend des cours à l’école des sorcières, elle y apprend la magie, les potions et bien sûr à voler sur un balais. Mais pour réussir à bien voler il faut beaucoup s’entraîner et parfois on finit par se crasher. Dans l’arbre où elle est tombée, elle fera la connaissance de Zouzou, un corbeau un peu bourru et très moqueur.
Après un premier contact peu engageant, il finira par lui montrer qu’il n’est pas si méchant. Il lui apprendra même à voler et de la découlera une belle amitié.

La maison en petits cubes (nobi nobi !)

Un vieux monsieur vie dans une étrange maison perdu au milieu de l’eau. En réalité, cette maisonnette n’est que le sommet d’une immense tour immergée. Chaque fois que le niveau de l’eau monte, le vieux monsieur construit un nouvel étage pour garder les pieds au sec.
C’est ainsi que les traces de son ancienne vie disparaissent, englouties.

Mais un jour, alors qu’il travaillait à bâtir son futur nouveau foyer, le vieil homme perd ses outils. Par mégarde, il les a lâchés dans l’étage du dessous immergé. Une fois sa combinaison de plongée enfilée, il part les récupérer, mais au fond de l’eau, il va retrouver bien plus que ses outils car chaque étage lui rappelle des souvenirs enfouis. C’est ainsi qu’il verra défiler tout son passé. Une vie bien remplie qu’il avait presque oubliée, car quand on se contente de regarder le sommet, on ne voit pas forcément ce qui vous a permis d’y arriver.

La maison-ballon de la famille Hippo (nobi-nobi !)

La famille Hippo tient une brocante à flanc de montagne. Les affaires sont florissantes jusqu’à ce qu’une route expresse soit construite juste devant chez eux détournant les clients de leur échoppe. La faillite guette ce malheureux commerce, à moins que papa Hippo ne parvienne à rendre visible leur magasin depuis la route grâce à une énorme banderole tenue par des ballons gonflés à l’hélium.
L’idée semblait plutôt bonne jusqu’à ce qu’une tempête se lève. A cause des ballons, le vent arrache la maison à ses fondations et la fait retomber en pleine mer. Que vont-ils devenir loin de tout sans eau et sans nourriture ?

Le peintre (nobi nobi !)

Shinya, un apprenti peintre en bâtiment, conçoit sa profession comme celui d’un artiste qui ne se limiterait pas à une simple toile. Sa peinture impacte directement le paysage, tout le monde peut en profiter et pas seulement le client. Sa mère lui raconte que sa vision de son travail est similaire à celle qu’avait son père qui exerçait le même métier. Shinya ne l’a pas connu, son père est mort d’une crise cardiaque avant sa naissance. Il avait accepté un travail en France et, à son décès, il fut enterré là-bas.
En quête d’identité, Shinya va quitter le Japon pour partir en pèlerinage dans ce pays lointain pour retrouver la tombe de son père. Ce voyage deviendra pour lui un rite initiatique qui l’influencera pour le reste de ses jours.

Lika aux cheveux longs (nobi nobi !)

Lika vie seule avec sa grand-mère, leur condition est modeste, mais son travail de vendeuse de rue leur permet de subvenir à leurs besoins. La seule richesse que possède Lika sont ses longs et magnifiques cheveux blonds. Elle y tient par-dessus tout car sa grand-mère lui dit souvent qu’ils sont comme ceux de sa défunte mère.

Le coiffeur du village, qui fabrique des perruques, a souvent proposé à Lika de lui racheter ses cheveux, mais elle s’est toujours refusée à les couper. Même si elle n’a pas beaucoup d’argent, tant qu’elle a de quoi vivre, elle veut garder sa chevelure. Malheureusement l’hiver est rude cette année et les clients sont rares. Lika ne peut plus se permettre de ne penser qu’à elle car elle doit aussi faire vivre sa vielle grand-mère. La décision est difficile, mais a-t-elle seulement le choix ?

Nobara et la malle du sorcier (nobi nobi !)

Nobara est une jeune fille dévouée qui travaille dans l’auberge de ses parents où elle aide du mieux qu’elle peut à servir les clients. Cette auberge voit passer toutes sortes de personnages excentriques mais c’est la première fois qu’un magicien prend une chambre chez eux. Ce curieux vieillard a pour seul bagage une valise magique un peu capricieuse. Elle peut exhausser les souhaits des autres, mais pas ceux de son propriétaire. Pour corser encore les choses, si le vœux de la personne n’est pas sincère, il n’en sort rien, ou alors un objet difforme, inutilisable ou immangeable lorsqu’il s’agit de nourriture.

Shiro et les flammes d’Arc-en-ciel (nobi nobi !)

Dans la forêt de Miaô, la Lune se couche une fois tous les cent ans vers le Mont Poisson. A cette occasion les villageois se doivent de l’accueillir par un feu d’artifice allumé par une flamme très spéciale : la Flamme d’Arc-en-ciel. Sans cela, la Lune se vexe et ne reparaîtra plus jamais ce qui plongerait la forêt dans l’obscurité totale durant toute la nuit.

Yôsei, dans le secret des fées (nobi nobi !)

Ce livre est un peu différent des productions habituelles de l’éditeur nobi nobi. Il n’y a pas de trame à raconter car chaque page présente une fée différente.
D’une certaine manière, il évoque fortement un art book et en cela, il a de quoi séduire les adultes car les dessins de Shiitake sont un ravissement pour les yeux de par la richesse des détails et la douceur des couleurs.

Yôsei, le cadeau des fées (nobi nobi !)

Ce livre s’inscrit dans la continuité de Yôsei, dans le secret des fées édité un an plus tôt. Il ne s’agit pas d’une histoire mais d’un recueil de poèmes illustrés s’articulant autour d’une thématique commune. On retrouve le duo d’auteurs qui avait fait le succès du premier ouvrage qui s’apparente davantage à un art book qu’à un simple livre pour enfants.