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Trois mois se sont écoulés depuis la fin du tome 2. Durant ce laps de temps, Elaine et Encre Noire ont rencontré Yugo et ses amis et ont joué les transporteurs pour de nombreux clients ce qui leur a permis d’amasser assez d’argent pour remettre à neuf leur bateau mais aussi pour payer les 200 kamas que coûte l’inscription au Tournoi Pirate.
Alors que tout sembler aller pour le mieux, ils vont vite déchanter en apprenant que pour s’inscrire, il faut avoir gagné ses kamas comme un vrai pirate c’est-à-dire en détroussant le gouverneur Poupo ou un riche marchand. Elaine et Encre Noire ne peuvent se prévaloir de tels faits d’armes et s’ils tentent de mentir sur l’origine de leurs gains, le vieil aveugle qui gère les inscriptions le devinera instantanément au son de leur voix.

Ce tome 2 de Freaks’ Squeele – Funérailles prolonge la promesse du premier tome : Funérailles et son frère Scipio se préparent à chambouler leur monde pour venger la mort de leur père.

Florent Maudoux est à son apogée dans ce volume : des dessins extraordinaires (en couleur), une histoire prenante et des combats épiques.
Le seul regret de ce tome est le probable manque de place dans le reste de l’histoire car il se focalise sur l’entraînement des deux héros sans entrer dans le vif de leur vengeance. Vivement le tome 3 qui promet d’être explosif.

Rouge est un spin-off BD de Freaks’ Squeele qui se consacre sur la jeunesse de Xiong Mao, fille abandonnée par sa mère dans une famille de yakuza dont son père est un membre influent.

Cette histoire revient sur la manière dont Xiong Mao va devenir une femme sûr d’elle-même et qui aura à terme la direction de sa famille. Pour le moment, ce n’est qu’une fille qui tente de trouver sa voie dans un collège de jeunes filles tandis que sa sœur Wang Mu  et sa belle-mère tentent de la décrédibiliser.  
Son seul atout : son père qui la protège, son garde du corps Fei Long, son professeur de Flamendo et une nouvelle amie au pouvoir bien étrange. 

Funérailles est un spin-off de la bande-dessinée Freaks’ Squeele réalisé par Florent Maudoux. Cette histoire se consacre à la jeunesse de Scipio, futur responsable de la F.E.A.H. et de son frère jumeaux Funérailles, un de ses professeurs. 

Cette bande-dessinée, totalement en couleur, se passe dans un monde proche de la Rome antique où des maisons se combattent pour avoir de l’influence tandis que les enfants dégénérés deviennent des esclaves.

Scipio et son frère Funérailles, tous deux parfait, vont être la force qui va changer à tout jamais leur société.

La situation est grave, les effets de la Pierre de Jovenia n’ont pas eu pour seul impact de rajeunir et rendre stérile la population, il semblerait que depuis peu le pouvoir de la pierre est en train de se transformer en une sorte de poison qui tue toute forme de vie et pas seulement les humains.
Pour l’instant les effets de ce sort se limitent aux environs du Casthell où la pierre a été brisée, mais ils s’étendent de plus en plus. Si rien n’est fait pour trouver un contre sort, le monde des humains et celui des elfes est condamné. Le roi de Larbos demande donc aux Légendaires de se mettre au service de Kalandre et de l’espionner car cette magicienne prétend avoir le pouvoir de guérir des effets de Jovenia.

Depuis le tome 7 nous savions que Gryf avait probablement eu la pire enfance du groupe des Légendaires. On nous avait déjà révélé qu’il a été esclave et gladiateur. Il fut privé d’enfance, contraint de se battre dès son plus jeune âge pour survivre. Avant même d’ouvrir ce tome, nous savons déjà que nous allons avoir une histoire sombre. Pourtant ses premières années ne se résument pas à une descente au enfer, c’est l’histoire d’une amitié. Cette amitié va rapidement devenir la seule lueur à laquelle Gryf pourra se raccrocher pour se sortir du monde de ténèbres dans lequel il a été plongé.

Ce deuxième tome du spin-off Rouge de la série Freaks’ Squeele continue à décrire les aventures d’une Xiong Mao adolescente en proie à sa sœur, aux ennemis de sa mère et à une relation particulière avec Sélène.

A défaut de révélations aussi intéressantes que le premier tome Coeur Ardent, Ma douce Enfant approfondit les thèmes présenté dans le volume précédent et permet de (re)voir enfin la mère de Xiong Mao la fameuse tueuse Masiko.

Pour tous les joueurs de Dofus, il est de notoriété publique que les Bworks ne sont pas des lumières. A côté d’eux, un iop pourrait presque passer pour un intellectuel. Alors comment cette espèce sous développée dont la civilisation ne semble pas avoir dépassé l’âge de pierre a pu se débrouiller pour construire un donjon ? Vous découvrirez dans ce tome que l’esprit entreprenant et constructif de la société Bwork tient surtout à un seul individu. Une personne qui ne fait pas réellement partie des leurs, un être artificiel dont l’apparence anthropomorphe ne doit pas vous faire oublier qu’en réalité son sang tient plus de la sève d’Abrakleurs que de celui d’un Bwork.

Les choses se compliquent pour Arty et Lily, la puissance du Dofus Pourpre a corrompu l’esprit de Noir Jack qui a décidé de les éliminer malgré le lien qui les unit depuis le tome 3.
Noir Jack utilise le pouvoir du Dofus pour transformer le groupe d’aventuriers en monstres. Au-delà du changement d’apparence, cette transformation a considérablement diminué leur force physique. A présent, face au nombre élevé de monstres qui les attaquent, ils n’ont plus aucune certitude d’être de taille face à eux.

Les Chevaliers Justice père et fils ont fait leur apparition dans l’épisode 8 de la saison 2 de Wakfu et sont réapparus ensuite dans le manga Wakfu. Ils avaient frappés les spectateurs par leur incroyable armement anti shushus et leur immense complexe carcéral à shushus caché au cœur de leur château.
Dans l’animé, ils formaient alors une équipe soudée, mais cette BD nous apprend que ce ne fut pas toujours le cas. En effet, le Chevalier Justice Junior a très longtemps vécu dans l’ombre de son père. Un père absent accaparé par son sens de la justice et du devoir au point d’en oublier un devoir élémentaire : celui de père.