Comics

Commencer une série par le tome 8 n’est pas dans mes habitudes, mais voyant que ce tome a été en partie scénarisé et dessiné par le duo Faouz B et Jebedai (qui avaient déjà démontré avec brio leur talent dans la collection Wakfu Heroes avec Justice), je me suis dit qu’un comics français impliquant ces deux artistes valait probablement le détour, ce qui n’a pas tardé à se confirmer au fil des pages.

Les dés sont jetés, la résurrection du dieu Cornu Mollu est en marche. Les alliés de Maskemane sont tous attachés, incapables d’intervenir. Ils sont contraints d’assister au triomphe de Kouto Smisse qui savoure sa victoire.

Mais derrière les apparences se jouent un tout autre combat qu’aucun de ces protagonistes n’est en mesure de voir. Cornu Mollu n’a pas pu se réincarner complètement, il est piégé quelque part dans les arcanes de l’esprit de Maskemane. Cette fois-ci ce n’est pas la force brute qui déterminera la fin de l’histoire.

Maskemane en a fini de jouer au gibier, il veut devenir le prédateur et, grâce à ses nouveaux compagnons, il s’attaque au château de Kouto Smisse. Il espère arriver à lui reprendre tous les masques qu’il possède avant d’attirer l’attention de la garde. S’il échoue, Kouto mettra la main sur les trois derniers masques qui lui manque et pourra ainsi réveiller le terrible dieu Cornu Mollu.

L’épée de Justice est un comics situé dans l’univers de Diablo entre l’extension Lord of Destruction de Diablo 2 et le troisième opus de la licence.

Il présente les aventures de Jacob qui a décidé de fuir sa ville natale de Staalbreak construite au pied du mont Arreat (où était caché la Pierre Monde avant sa destruction par Tyraël) après avoir tué son père qui était devenu fou. Ses voyages vont le mettre sur la route d’une épée magique et il sera un des premiers Nephalem, ces hommes plus puissants que les anges et démons.

Maskemane a fini par retirer le Masque du Psychopathe ce qui lui a permis de retrouver ses esprits. A présent qu’il est redevenu lui-même, il commence à regretter de s’en être pris à Farow. Il est bien obligé d’admettre qu’il n’est pas indifférent à son sort et qu’il serait peut-être temps pour lui de reconsidérer sa façon de vivre.

Un monstre géant a surgi des profondeurs des égouts de Bonta. Devant la puissance de cette créature, Remington et Ush n’ont pas d’autre choix que de faire une alliance temporaire s’ils ne veulent pas tous y passer. Malgré leur courage, ils ne peuvent pas faire grand-chose à eux seuls, ils sont obligés de faire appel à l’aide de Kouto et ses roublards. Ush qui espérait profiter de l’occasion pour redorer son image auprès des bontariens est bien mal engagé avec une telle brochette de bandits à ses côtés.

Maskemane a fini de se remémorer son passé, à présent qu’il a mis le Masque du Psychopathe, sa personnalité s’efface, laissant place à un monstre assoiffé de sang qui n’a rien à envier à son adversaire, si ce n’est peut-être sa force…
Bien que tout son être soit orienté vers le combat, Maskemane a fort à faire face à un guerrier aussi puissant et expérimenté que Dark Vlad.

Remington a mis son plan a exécution, il est entré par effraction dans le magasin de Joris pour voler Cœur Battant, une étrange montre qui a théoriquement le pouvoir de réaliser les souhaits les plus profonds du propriétaire. Malheureusement pour Remington, son frère a des souhaits refoulés venus de l’enfance. Il va vite se rendre compte que la résolution d’un problème en appelle parfois un autre.

La puissance de Dark Vlad est telle que Maskemane a été obligé faire ce qu’il appréhendait tant : utiliser le Masque du Psychopathe.

Avant d’engager le combat, Maskemane ne peut s’empêcher de se remémorer la première fois qu’il a approché ce masque et les conséquences qui en ont résulté.

Même si Kouto ne reconnaît plus Grany comme son fils et l’a rejeté, Remington ne peut se résoudre lui aussi à le laisser tomber. A choisir entre son père et son frère, il préfère encore rejoindre Grany que de rester avec cet homme sans cœur qui sert de géniteur.

Malheureusement Grany est déjà loin et sans Remigton pour le protéger, il n’a pas tardé à se créer des ennuis.