Films

Oubliez le popcorn passez au kimchi revient cette semaine sur le film coréen Hansel et Gretel qui plonge le spectateur dans un film fantastique horrifique à la « Guillermo Del Toro » jouant sur le code des contes classiques pour mettre en abîme la condition des adultes face aux enfants.

Oubliez le popcorn passez au kimchi est notre nouvelle rubrique dédiée aux films coréens réalisées par une de nos collaboratrices fans de films du pays au matin calme mais aux films si particuliers. 

Cette semaine, le premier film que nous présentons est 71 : Into the Fire, un film historique qui réussit à présenter la guerre de Corée avec des personnages charismatiques. Prêt à rejoindre 71 jeunes coréens qui se sont battus pour leur pays ?

Que dire de l’attente autour de Tintin et le secret de la Licorne ? 30 ans que l’on attend ce film de Steven Spielberg pourtant « adoubé » par Hergé avant sa mort. Le défi était avant tout technique car comment rendre visuellement une bande-dessinée de type ligne claire ?

Steven Spielberg, accompagné de Peter Jackson, a finalement livré sa copie et rend un travail soigné mais la plus grande difficulté reste la comparaison avec l’œuvre originale.

Cars 2 est sorti en 2011, ce film est toujours réalisé par John Lasseter, mais cette fois c’est Brad Lewis qui endosse la casquette de Coréalisateur. Il s’était déjà illustré sur le film Ratatouille et cette expérience a probablement été mise à profit pour les scènes se déroulant en Europe et plus particulièrement à Paris. On sent aussi que le court métrage Tokyo Martin (également de John Lasseter) a été une bonne base pour l’élaboration des scènes se déroulant au Japon, on y retrouve notamment un certain de nombre de véhicules ayant participé au court métrage (voir anecdotes).

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Ultramarines est film réalisé par Martyn Pick dont l’histoire est basée sur l’univers du jeu Warhammer 40.000 de Game Workshop. Si ce film en images de synthèse est sorti directement en DVD, c’est parce que ses chances de séduire un public large sont extrêmement faibles, il est évident que le film cible un marché de niche, celui des joueurs qui connaissent bien l’univers du jeu de plateau (ou éventuellement du jeu vidéo).

Andy a bien grandi, il s’apprête à présent à partir pour l’université. Dans sa chambre, les quelques rares jouets qui n’ont pas été vendus, mis au grenier ou à la poubelle passent leur temps à prendre la poussière dans le coffre à jouets. Lorsque Andy l’ouvre de temps en temps, il les regarde sans les voir, ce qui désespère Woody et Buzz qui se sont résignés à finir au grenier avec les vieilleries. Mais c’est finalement une seconde vie qui les attend au jardin d’enfant.

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La planète Terre a été envahie par des extraterrestres appelés humanoïdes (illumidas dans la VO). Le gouvernement terrien s’étant officiellement rendu, tous les vaisseaux militaires ayant servi à l’évacuation des civils doivent revenir. Albator le commandant du Death Shadow doit lui aussi remettre son vaisseau aux humanoïdes s’il ne veut pas que les civils qui sont à son bord soient abattus en même temps que son vaisseau.
Heureusement, sur terre, il fera la connaissance d’Alfred (Toshirô), un ingénieur qui a construit en secret un vaisseau de guerre puissamment armé l’Atlantis (Arcadia) . Albator va donc pouvoir reprendre la lutte contre l’envahisseur avec l’aide de la femme pirate Emeraldia (Emeraldas).

Toy Story 2 est un film d’animation réalisé par John Lasseter et produit par Disney et Pixar. Il est sorti en 1999 aux Etats Unis, puis en 2000 en France. L’histoire reprend les ingrédient du premier opus en ce focalisant sur Buzz et Woody bien qu’ils vivent une partie de cette aventure séparé l’un de l’autre.

Toy story est le premier long métrage entièrement en 3D des Studio Pixar, réalisé par John Lasseter, et produit par Disney et Pixar. Ce dessin animé apporte donc à l’époque une innovation majeure dans l’histoire des long métrages, et marque un tournant dans celle de l’entreprise Disney. 

La princesse et la grenouille est réalisé par Ron Clements et John Musker, mais c’est sous l’impulsion de son producteur John Lasseter que les Studios Disney ont accepté de revenir à la 2D, le procédé de dessin traditionnel qui a fait les beaux jours de la célèbre entreprise.