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Le grand fossé est le 25^ème album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois. C’est le premier album réalisé seul (dessin et scénario) par Albert Uderzo depuis la mort de son ami co-auteur René Goscinny. Il fut édité à 1 700 000 exemplaires en 1980.

L’histoire commence dans un village un peu particulier puisqu’il est divisé en deux par un immense fossé. Chaque moitié du village a son propre chef. Ségrégationnix l’un des deux chef laisse son subordonné Acidentrix impliquer l’armée romaine pour se débarrasser de son adversaire Tournedix. Fanzine, la fille de Ségrégationnix, décide d’avertir Comix, le fils de Tournedix, pour que ses villageois prennent les dispositions pour se protéger des romains. Elle profite aussi de cette occasion pour lui déclarer sa flamme.
Comix part donc au village d’Astérix pour demander l’aide de Panoramix. Ce dernier accepte de les aider, mais ne donnera de la potion magique que pour se protéger des romains et non pour que les gaulois des deux camps s’affrontent.

Obélix et Compagnie est le vingt-troisième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), pré-publié en 1976 dans l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur puis édité en album à 1 300 000 exemplaires en 1976.

Rome ne sait plus comment résoudre le problème du village d’Astérix, mais Caius Saugrenus, un Nearque (genre d’Enarque), pense avoir trouvé le moyen de corrompre les gaulois. On ne peut pas les acheter au sens propre, mais on peut créer le terreau fertile au développement de l’activité économique du village pour les pousser à utiliser leur temps à travailler pour produire au lieu de se battre.

Pour arriver à ses fins, Caius Saugrenus a trouvé le pigeon de rêve en la personne d’Obélix qui n’a pas la finesse suffisante pour comprendre qu’il est manipulé. Saugrenus commence par acheter un menhir, puis deux, puis tout ce qu’Obélix sera capable de produire. A chaque visite, il prend le temps d’expliquer quelques bases de l’économie de marché à son fournisseur pour que ce dernier transforme progressivement l’économie du village en une industrie du menhir subventionnée par les achats de Rome. Mais cette dépendance à aussi un prix, qui ne se compte pas en sesterces…
 

Astérix et le Chaudron est le treizième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), prépublié dans le magasine Pilote du n° 469 (31 octobre 1968) au n° 491 (3 avril 1969) et édité en album à 1 100 000 exemplaires en 1969. (Premier tirage du tome précédent : 1 200 000 ex).

L’histoire commence par la visite officielle de Moralélastix un autre chef gaulois qui demande à Abraracourcix de garder un chaudron plein de sesterces (argent) pour éviter que le percepteur d’impôts romain mette la main dessus. Abraracourcix accepte et confie la garde du chaudron à Astérix. Mais celui-ci se fait dérober le contenu du chaudron pendant la nuit. Comme il a failli à sa mission, le village est déshonoré et les habitants n’ont pas d’autre choix que de bannir Astérix du village à contre cœur. Celui-ci ne peut racheter sa faute et rentrer au village qu’en remplissant le chaudron de sesterces pour le rendre à Moralélastix.

Astérix légionnaire est le dixième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), prépublié dans le magasine Pilote du N° 368 (10 novembre 1966) au N° 389 (6 avril 1967) et publié en album en 1967 à 1 million d’exemplaires (alors que le précédant était tiré à 1,2 million, c’est la première baisse de premier tirage).
Par la suite cet album fut adapté en dessin animé en 1985 sous le titre d’Astérix et la surprise de César. (Il s’agit en réalité d’un mix entre Astérix gladiateur et Astérix légionnaire)

Obélix tombe amoureux de Falbala, mais découvre en pleine tentative de séduction que celle-ci est déjà fiancée. Malheureusement  pour elle, son fiancé a été enrôlé de force dans la légion romaine pour partir combattre en Afrique. Astérix et Obélix décident donc de partir à sa rescousse en s’enrôlant eux aussi dans la légion pour le retrouver plus facilement.
 

Astérix et les Normands est le neuvième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), prépublié dans le magasine Pilote du N° 340 (28 avril 1966) au N° 361 (22 septembre 1966) et publié en album en 1966 à 1,2 million d’exemplaires. (Le premier tirage du précédent tome était de 900 000). Par la suite cet album fut adapté en dessin animé en 2006 sous le titre de Astérix et les Vikings.

L’histoire commence alors que Océanix, le frère d’Abraracourcix, envoie son fils Goudurix faire un séjour dans le dernier village résitant à l’envahisseur romain avec pour mission de le former à être un vrai guerrier. Océanix espère que là bas, son fils mûrira.
Goudurix est un jeune Lutécien (Parisien) qui a un certain mépris pour les provinciaux et surtout qui connaît bien plus les dernières tendances Lutéciennes que l’art du combat ou encore le courage. Astérix et Obélix se voient confier la lourde tâche de s’occuper de son éducation.
De leur côté, les Normands (viking) aimeraient aussi parfaire leur éducation. Ils ne manquent pas de courage, loin de là, ils en ont juste un peu trop. Du coup, ils ignorent la peur. Or, ils ont entendu dire que « la peur donne des ailes » et leur fierté ne peut supporter que des peuples qu’ils estiment inférieurs à eux puissent faire quelque chose mieux qu’eux. Ils partent donc en voyage d’étude pour « apprendre la peur ».
Manque de chance, ils tombent sur le village d’Astérix où la peur est quasi absente (à part que le ciel leur tombe sur la tête). Fort heureusement, Goudurix est terrorisé par les Normands, il devient donc à leurs yeux le professeur de peur idéal. Il est enlevé pour distiller son enseignement et Astérix et Obélix doivent alors partir à son secours.

Le combat des chefs est le septième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), prépublié dans Pilote du No 261 (22 octobre 64) au No 302 (5 août 1965) et publié en album en 1966 avec un tirage de 600 000 exemplaires soit 6 fois plus que le premier tirage du précédent tome.
Le dessin animé Astérix et le coup du menhir fait en 1989 s’inspire partiellement de cet album.

L’histoire commence cette fois ci dans le camp de légionnaires Babaorum que nous découvrons pour la première fois.  Le centurion Langelus ne sait plus comment gérer le problème du village des irréductibles gaulois qui régulièrement assomment ses patrouilles.
Perclus, son aide de camp, songe à utiliser la coutume  gauloise du « combat des chefs » pour conquérir le village sans avoir à utiliser l’armée romaine. Cette coutume permet à un chef gaulois d’en défier un autre et le vainqueur prend la place et le commandement du village perdant. Il se trouve que dans les nombreux villages gaulois sous domination romaine, il existe un chef de village, nommé Aplusbégalix, qui est particulièrement dévoué à la cause romaine, il semble vouer une admiration sans borne à la culture romaine. Comme il est particulièrement fort, il est le candidat idéal pour affronter Abraracourcix le chef du village des irréductibles gaulois.

Astérix et Cléopâtre est le sixième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), prépublié dans le magazine Pilote du N^o 215 (5 décembre 1963) au N^o 257 (24 septembre 1964) et publié en album à 100 000 en 1965. (Le précédent tirage pour le Tome 5 était de 60 000 ex, le succès d’Astérix est croissant)

L’histoire commence par une dispute, mais pour une fois, il ne s’agit pas des gaulois. Jules César a offensé au plus haut point l’orgueil de son épouse Cléopâtre en lui disant que son peuple est décadent et même si autrefois ils ont bâti les pyramides, ils sont aujourd’hui tout juste bon à attendre la crue du Nil.
Pour lui prouver qu’il a tort, elle lui promet de faire construire un palais qu’elle lui offrira dans 3 mois. César accepte en retour de reconnaître la valeur du peuple égyptien si il y parvient.

C’est le pauvre architecte Numérobis qui se voit confié la charge du projet. Malgré son incompétence, il n’est pas stupide au point de ne pas se rendre compte que la tâche est impossible à finir en si peu de temps. D’autre part, il ne peut malheureusement pas se permettre d’échouer car cela signifierai pour lui d’être jeté aux crocodiles. Il décide donc d’aller chercher son ami le druide Panoramix en Armorique pour lui demander son aide. Celui-ci accepte volontiers et se fait accompagner en Egypte par Astérix et Obélix.  

Astérix Gladiateur est le quatrième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), prépublié dans le magazine Pilote du No 126 (22 mars 1962) au No 168 (10 janvier 1963) et édité en album à 60 000 exemplaires en 1964. Le tirage est 4 fois plus important que pour le lancement des albums précédents ce qui traduit la notoriété croissante du petit gaulois.

En 1985 a été réalisé une adaptation animé mélangeant les albums Astérix gladiateur et Astérix légionnaire sous le titre de Astérix et la surprise de César.

L’histoire commence avec l’arrivé du préfet Caligula Alavacomgtetepus dans le camps Petitbonum. Caligula compte faire du zèle en ramenant à Rome un cadeau original pour César. Il demande donc au chef du camp de lui capturer un de ces « irréductibles gaulois ». Le centurion en charge de cette mission tente de minimiser les risques en capturant le barde Assurancetourix qui a l’habitude de se promener seul en forêt. Même si la capture est un succès, le centurion sait très bien que le plus dur reste à venir.

Astérix et les Goths est le troisième album de la série d’albums Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin). Ces planches ont été prépubliées dans Pilote du No 82 (18 mai 1961) au No 122 (22 février 1962) puis éditées en album à 15 000 exemplaires en 1963.

L’histoire commence alors que Panoramix, le druide du village part se mesurer dans la forêt à ses confrères druides dans un concours de potions magiques. Astérix et Obélix n’ont pas le droit d’assister à cette compétition car elle est uniquement réservée aux druides. Ils décident par prudence de l’escorter jusqu’à la lisière de la forêt et d’attendre sagement à l’entrée que le concours se termine. Mais des goths ont eu vent de ce concours et espionnent discrètement les compétences des druides pour pouvoir enlever celui dont la magie sera la plus utile pour conquérir la Gaule et Rome. Bien évidement Panoramix et sa potion qui rend invincible est une cible de choix.

La Serpe d’or est le deuxième album de la série de bande dessinée Astérix le Gaulois de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin). Ces planches ont été prépubliées dans Pilote du No 42 (11 août 1960) au No 74 (23 mars 1961) puis édité en album à 15 000 exemplaires en 1962.

L’histoire commence lorsque le druide Panoramix brise par mégarde la serpe d’or qui lui sert à cueillir du gui, or sans cet outil, les propriétés magiques du gui disparaissent. Le seul endroit où trouver des serpes de qualité est chez le fondeur Amérix le cousin d’Obélix qui habite à Lutèce (Paris). Astérix et Obélix ne peuvent laisser leur druide entreprendre un voyage aussi long et périlleux, ils décident donc d’aller eux-mêmes lui chercher la serpe dont il a besoin.