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Cette histoire se déroule pendant la saison 2 quelque part entre l’épisode 34 et l’épisode 43. Yugo et ses amis sont en route vers l’Archipel des Griffes Pourpres, lorsqu’ils tombent par hasard sur une troupe de théâtre jouant une pièce inspirée par les aventures qu’ils ont vécues sur l’île de Moon (épisode 14). Apparemment ce n’est pas la seule pièce inspirée par la Confrérie du Tofus, il existe aussi un autre spectacle basé sur leur affrontement avec le Cordeau Noir (voir épisode 3).

Tristepin se réjouit de se voir ainsi mis en avant, en revanche Amalia trouve que les répliques comme les costumes laissent à désirer et ne leur rendent pas hommage. A la demande de la troupe de comédiens, ils acceptent de rester un peu pour leur donner des détails sur ce qu’il s’est vraiment passé. Malheureusement, ils ne savent pas encore que cette troupe et maudite : à chaque représentation, un comédien disparaît et cette fois c’est Amalia qui en fera les frais.

Le personnage de Schincter Cell avait déjà été mis en avant à partir du tome 7 du manga Dofus. Bien qu’il s’agisse d’un ennemi redoutable l’histoire ne nous apprenait rien sur son passé et ses motivations. Respectant la logique transmédia d’Ankama, ce spin of est une sorte d’épilogue au tome 11 de Dofus qui vient combler un manque sous une forme d’un flash back passionnant.

Dans la salle des ventes, Kerubim et Joris attendent impatiemment que l’Epée Neuf Queues du Dieu Ecaflip soit mise aux enchères. La légende prétend que le Dieu Ecaflip a prélevé un poil de chacune de ses neufs queues pour forger les neuf lames de cette épée. Il aurait fabriqué cette arme pour lutter contre le premier grand monstre : une hydre infernale à neuf têtes dont la tête repousse à chaque fois qu’on en coupe une. C’est pour pouvoir les couper toutes les neufs en une fois qu’il a conçu cette épée.

Cette collection s’est faite attendre, alors que la saison 1 battait son plein en 2008 ce n’est qu’en 2011 que la première BD reprenant les héros de l’animé pointe le bout de son nez. Entretemps Ankama a bien essayé de surfer sur la vague médiatique avec les spin-off de la collection Wakfu Heros (2010), mais c’était insuffisant, l’attente du public était surtout orientée vers Yugo et ses amis.

L’action de cette collection prend place durant la saison 1 de Wakfu après l’épisode 13 et avant l’épisode 15 lorsque Yugo et sa bande voguent en pleine mer en direction de l’île d’Oma. Chaque tome est construit comme un épisode et le talent de narrateur Christophe Lambert donne l’impression de visualiser chaque plan. Le sentiment d’immersion est renforcé par les illustrations dont le style et la technique sont directement issus de la série.

Astérix chez les Pictes est le premier album qui na pas été réalisé par Uderzo. Il a passé le relais à Didier Conrad pour les dessins et Jean-Yves Ferri pour le scénario. Cette visite en immersion dans la culture écossaise s’est faite sous l’œil attentif de l’auteur original qui a contrôlé chaque case et a même participé à la couverture en dessinant le personnage d’Obélix laissant le reste à son successeur.
Tout a été fait pour que le transfert se fasse en douceur pour rassurer les fans tant sur le plan graphique que du scénario qui semble opérer un retour aux sources.

Joris s’amuse avec une pelote de laine dont il se sert comme d’une balle. Kerubim intervient pour la lui reprendre. Bien que cet objet ait une apparence anodine, il s’agit en réalité de la pelote de laine du Dieu Ecaflip. Cet objet est très personnel, chaque disciple du temple en reçoit une à son arrivé et il en prend soin. Le fait que le Dieu Ecaflip lui ait donné la sienne est un immense honneur, mais ce qui compte le plus aux yeux de Kerubim c’est que cet objet incarne surtout pour lui le début de sa carrière d’aventurier.

Pas de vacances pour les jeux vidéo ! est le deuxième tome de la bande-dessinée du Joueur du Grenier.
Comme le premier volume, appelée ma folle jeunesse, cette bande-dessinée revient sur la jeunesse romancée du célèbre râleur et chroniqueur de jeux vidéo avec un gag et une petite histoire par page.

La soirée que Simone a passée avec Julie a été une catastrophe. La pauvre Simone s’est faite incendier sans raison apparente. De retour à la maison ce n’est guère mieux, à peine a-t-elle dit bonjour que Kerubim et Joris se montrent agressifs et l’engueulent. Kerubim ne tarde pas à comprendre que ce déchaînement contre elle vient du pendentif qu’elle porte autour du cou. Cet objet s’appelle le Tulamour, Simone se demande qui peut trouver un intérêt à un objet qui vous attire l’animosité des autres. Kerubim raconte alors comment le Tulamour l’a sorti d’un mauvais pas.

Il n’y a que deux types de personnes qui peuvent prétendre n’avoir jamais échoué, ceux qui n’ont rien tenté et les menteurs. Il n’est donc pas étonnant que malgré l’incroyable succès de Wakfu, tous les produits tirés de cet univers n’aient pas forcément toujours marché. Parfois c’était très compréhensible d’autres fois, comme pour Les Larmes de Sang, cela tenait plus à un problème de positionnement (trop adulte) qu’à la qualité intrinsèque de l’œuvre qui était pourtant excellente mais n’a jamais su trouver son public.