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Head-Trick est une série de manga français dessine par K’yatt et scénarise par les deux frères E et D.
Les versions papier ont commence à être éditées en 2011, mais avant cela, les deux premiers tomes ont été publies gratuitement par les auteurs sur internet. Le nombre de personnes qui suivaient assidûment a augmenté au point que les auteurs ont finalement décidé de s’auto éditer pour offrir une version papier éditée dans le sens de lecture japonais.

Voici le quatrième film de notre rubrique Oubliez le popcorn passez au kimchi  sur les films coréens. 

Cette fois-ci, nous nous attaquons à une comédie romantique totalement décalée mais tellement réaliste et touchant. Etes-vous prêt pour un peu de guimauve dopé ?

Ce tome reprend avec le lancement de la deuxième mi-temps du match entre les Black Wall et les Redcat’z.
Les Black Walls sont favoris depuis que plusieurs joueurs dont Leg, le capitaine de l’équipe adversaire, ont été envoyés à l’hôpital par Leg. A présent son équipe des Redcat’z est seulement composée de 9 joueurs au lieu de 11. Mais rien n’est encore perdu car Ed vient de découvrir qu’il peut aussi utiliser sa tête pour frapper le ballon, hors au vu du nombre de personnes qu’il a assommé avec un coup de boule, il est évident qu’Ed maîtrise mieux sa tête que ses pieds pour shooter dans une balle.

Notre rubrique Oubliez le popcorn passez au kimchi  sur les films coréens continue à s’étoffer : après le film de guerre 71 : Into the Fire et le film fantastique Hansel et Gretel, nous avons le plaisir de présenter un délire qui ne sort de nulle part : Volcano High où la rencontre entre le Collège fou fou fou et Matrix.

Ce premier tome est une immersion brutale dans l’univers d’Head-Trick. L’environnement footballlistique se dessine autour d’une rivalité virile entre Ed le traîne savates et Leg, le charismatique capitaine de l’équipe de football de son lycée.

Ce tome est donc centré sur l’action, les trois-quarts du manga se focalisent sur la première mi-temps d’un match de football surréaliste entre l’équipe des Black Wall et celle des Redcat’z où Ed a été enrôle de force.

Oubliez le popcorn passez au kimchi revient cette semaine sur le film coréen Hansel et Gretel qui plonge le spectateur dans un film fantastique horrifique à la « Guillermo Del Toro » jouant sur le code des contes classiques pour mettre en abîme la condition des adultes face aux enfants.

Yugo et sa bande sont enfin arrivés à HavrePort, Amalia veut chercher une auberge, mais pour des questions d’économie, Tristepin propose de dormir dans le sac dimensionnel de Ruel. Amalia refuse de retourner dans ce lieu puant, elle emmène Evangelyne avec elle et laisse les garçons entre eux. En réalité, Tristepin et Ruel cherchaient un moyen d’éloigner les filles pour pouvoir enfin laisser sortir Cléophée qui était cachée dans le sac de Ruel.

Si vous êtes fan de Dofus ou Wakfu, il y a fort à parier que le graphisme de cet art book vous semble étonnement familier. Xa (Xavier Houssin) est le character designer et directeur artistique qui a donné cette pâte si particulière que l’on retrouve à la fois dans le jeu vidéo et la série TV. On sent l’inspiration nippone avec des filles typées kawai, pour autant, Xa sait s’en détacher et dégager une identité propre dans un style toujours reconnaissable.

Morld a attrapé Goultard et Arty et il les avale sans les mâcher. Nos deux compères réalisent alors qu’il a un estomac dimensionnel, un peu comme le sac de Ruel (voir épisode 9). Prisonniers de cette immense caverne stomacale, leur force ne leur est d’aucun secours face à l’acide gastrique qui tapisse ce lieu. S’ils ne trouvent pas rapidement un moyen de sortir, ils risquent d’être dissouts.

Cet art book aborde les épisodes 16 à 18 de la saison 1 de Wakfu. Par rapport aux autres livres de cette collection, la part belle a été faites aux images. Il y a moins d’anecdotes ; en revanche les visuels sont très intéressants ce qui n’est pas surprenant vu la richesse graphique des épisodes abordés.

Cet art book revêt un caractère particulier dans la mesure où les épisodes traités ont été pour la première fois réalisés par plusieurs studios : Roubaix, Paris mais aussi celui du Japon.