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Le Death knight (ou Chevaliers de la Mort en VF) est la classe héroïque rajoutée dans l’extension La Colère du Roi Liche. La particularité de cette classe vient du faite que le joueur commence avec un personnage de niveau 56 (et non 1 comme pour les autres classes) et vivra une aventure très scénarisée jusqu’au niveau 58.

Le manga raconte la naissance des Chevaliers de la Mort qui serviront Arthas dans son combat contre les vivants. Il reprend les règles du jeu en ligne et raconte comment un simple guerrier, Thassarian, va accompagner le prince Arthas en Norfendre et devenir son serviteur dans la mort avant de devenir le premier Chevalier de la Mort jurant allégeance à l’Alliance.

Cet épisode hors série fut diffusé sur France 3 le 25 Avril 2011. Il se détache de la série Wakfu sur deux aspects : tout d’abord sa durée est plus longue (45 minutes au lieu de 22), ensuite contrairement à la série, il n’est pas réalisé en France en Flash mais par le studio japonais d’Ankama en animation traditionnelle (dessinée image par image).
Heureusement, contrairement au hors série sur Nox, le design d’origine de la série a été conservé, ainsi Yugo, Az et Alibert sont parfaitement reconnaissables tout comme l’auberge où ils vivent qui est identique à celle de la série tant au niveau des couleurs que de la forme.

L’ordre de l’Aube d’Argent est le deuxième (et dernier) tome de la série de la bande-dessinée Porte-Cendres. Cette histoire reprend où le précédent tome s’était arrêté après la déchéance d’Alexandros Mograine et raconte comment son fils Darion va tenter de le sauver au prix de son âme.

On dit souvent que ce n’est pas le caractère qui façonne une personnalité, mais le destin. Une succession d’évènements malheureux peuvent transformer le plus droit et le plus généreux des individus en un terrible bandit au cœur aussi froid que la lame de son épée. Ce tome vous propose de découvrir la lente déchéance de Nomekop qui a appris à survivre au dépend de son humanité.
On découvrira aussi comment il a rencontré ses deux acolytes Eratz et Edasse pour former un trio de bandits bien connu des joueurs de Dofus car ces trois là détiennent le fameux Dofus Emeraude (celui qui sert de logo au jeu en ligne Dofus).

Sur 250 pages 20 auteurs travaillant sur l’univers d’Ankama vous proposent de découvrir quelques unes de leurs méthodes de dessin à travers des tutoriels très détaillés.
Rassurez vous, même si le titre est en anglais, les textes explicatifs sont rédigés en français vous ne serez donc pas perdu.
Malgré un titre qui évoque un manuel d’apprentissage pur jus, ce livre peut sans peine être classé dans la catégorie artbook tant il regorge de superbes illustrations mises en valeur en pleine page.

A la poussière tu retourneras est le premier tome de la série de la bande-dessinée Porte-Cendres se situant au moment où le Fléau attaque Lordaeron avec la naissance de l’épée Porte-Cendres et l’histoire tragique de la famille Mograine.

Le voyage se fait beaucoup plus rapidement depuis que Yugo et ses amis utilisent les montures des bandits (épisode 34). Pourtant, Tristepin ne semble pas aussi joyeux que le reste du groupe. Depuis que Rubilax lui a rendu son corps (épisode 31), il ne lui a plus adressé la parole, même pas pour se moquer de lui. Evangelyne pense que Rubilax a besoin d’un peu de temps pour digérer le fait que malgré sa nature de Shushu, il a un bon fond.

Quelques soient les civilisations, la succession au trône est souvent un sujet délicat, pourtant ce manga a su aborder cette problématique sous de multiples angles avec beaucoup de finesse et surtout une bonne dose d’humour. Les luttes de pouvoir des Firefoux de l’île de Pandala vont offrir le cadre idéal au développement d’une intrigue complexe et riche en rebondissements.

Cette série de BD en trois tomes prend place sur l’île de Pandala, une région tirée du jeu Dofus. La particularité de cette œuvre est de raconter une histoire uniquement avec des images sans aucune bulle de texte ou onomatopée. On apprend dans la préface du tome 2 que ce choix éditorial s’est imposé de lui-même car les dessins de Bertrand Hottin on un tel pouvoir de suggestion que le texte semblait superflu.
Ce procédé rappel celui du manga Gon (1995) et, comme ce dernier, Pandala arrive à charmer le lecteur dès les premières pages.