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Make Love, Not Warcraft est un épisode de la série South Park se déroulant en grande partie dans l’univers de World of Warcraft. L’éditeur du jeu vidéo Blizzard a participé à la réalisation du jeu en proposant à la production l’accès à un serveur et en autorisant des actions normalement impossibles dans le jeu.

Le Dragon Cochon était un personnage essentiellement connu des joueurs de Dofus à travers le Donjon qui porte son nom, mais depuis le 26 mars 2011 sa célébrité s’est étendue aux amateurs de Wakfu grâce l’épisode 32 qui est centré sur lui. La sortie de cet épisode fut aussi l’occasion pour Ankama de revoir de fond en comble le donjon du Dragon Cochon pour que celui du jeu vidéo soit plus proche de celui que l’on voit dans la série TV.
En revanche, la BD ne peut pas être mise à jour aussi facilement qu’un jeu en ligne et, comme elle date de 2008, il vaut mieux vous avertir tout de suite que le design du Dragon Cochon diffère légèrement de celui de l’animé car il n’a pas son kimono noir.

Ceux qui suivent la série Wakfu on déjà aperçu le Chêne Mou à l’épisode 2 et à l’épisode 13.
Cette BD vous propose de découvrir les origines particulières de cet arbre magique est par la même occasion d’en savoir un peu plus sur la mystérieuse jeune fille appelée Feuille que le Chêne Mou avait cru reconnaître lorsqu’il a vu Amalia à l’épisode 2.

Maintenant que Tristepin a récupéré son corps (voir épisode précédent), le groupe peut enfin retourner au Royaume Sadida où Az et Adamaï les attendent. Mais le trajet est long et fatiguant, et la faim ne tarde pas à se faire sentir. Heureusement ils trouvent en chemin quelques fruits sauvages, mais ce n’est guère suffisant pour les rassasier. Pendant que ses compagnons s’empiffrent, Amalia trouve un adorable petit cochon ailé « trooop migon ».

Dofus est une BD humoristique inspirée de l’univers du jeu vidéo en ligne Dofus. Apparue pour la première fois en décembre 2005, elle et scénarisée par Tot (l’un des fondateurs d’Ankama et le réalisateur de Wakfu) et dessiné par Ancestral-Z, Brunowaro et Mojojojo.
Malgré son origine française, elle est loin des standards du genre car c’est un Manfra, c’est-à-dire une BD noir et blanc qui reprend le format poche des mangas. Cependant, les auteurs n’ont pas poussé le vice jusqu’à inverser le sens de lecture.
Comme pour le jeu vidéo Dofus, l’influence nippone est d’ailleurs clairement assumée, car de très nombreuses références sont faites aux mangas à travers le style ou des clins d’œils à d’autres œuvres. Cependant, les auteurs ne se limitent pas au Japon, on trouve aussi des quelques allusions à des œuvres européennes ou américaines, principalement des dessins animés des années 80 à 90.

Pour protéger Naïma, Silas doit affronter Apifaice, un iop possédé par un shushu. Sa force est redoutable et le pauvre Silas n’est pas de taille pour affronter un tel monstre.
Pour augmenter ses chances, il utilise une technique interdite qui va lui donner l’avantage pendant quelques instants. Cette technique est dévastatrice, à la fois pour son adversaire, mais aussi pour lui-même. Son corps encaisse très mal le contre coup.
Malheureusement, alors que lui ne peut même plus se relever, son ennemi a encore la force de sa battre. Au moment où il allait recevoir un coup fatal, il est sauvé de justesse par l’intervention de son père qui est pourtant censé être mort au tome 1.

Maintenant qu’Evangelyne a réussi à se débarrasser de Remington, elle s’apprête à retourner à la salle du trône pour récupérer le corps de Tristepin. Mais, alors qu’elle allait partir, elle se rend compte que l’âme de Tristepin, qui est enfermée dans l’épée, ne répond plus. Finalement Tristepin émerge enfin et lui explique que, depuis qu’il est enfermé dans cette épée, c’est comme si son âme pouvait sortir et se balader dans le monde. C’est grâce à cela qu’il a pu entrer en contact avec son esprit et la prévenir par télépathie qu’il était encore vivant.

Maskemane est un Zobal c’est-à-dire qu’il tire son pouvoir de trois masques différents. Il porte toujours un masque sur le visage et cela dure depuis tellement longtemps qu’il a même oublié l’effet que cela fait de ressentir le vent sur son visage. Ces objets sont comme une partie de lui-même, lui enlever serait comme le mutiler.
Malheureusement, le pouvoir de ces masques attire la convoitise et aujourd’hui il doit fuir pour éviter qu’on ne lui vole son bien le plus précieux.