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Cette mini-série de 9 épisodes s’appelait à l’origine Les grands contes de Martin. Le concept s’axe autour d’histoires invraisemblables que raconte Martin sur son passé. Curieusement les durées ne sont pas identiques pour chaque épisode, cela va de 2 minutes 25 secondes pour le premier à 6 minutes 30 pour le plus long. On peut supposer que comme ils étaient destinés à être diffusés sur le web via le portail Disney, les contraintes de temps ne sont pas aussi rigides que pour une chaîne de télévision.

Lorsqu’elle a été diffusé en France sur TF1, elle a été rebaptisée « Martin se la raconte » et c’est sous ce titre que la série est sortie en novembre 2010 avec en bonus deux épisodes inédits : Martin détective privé et Martin Lunaire.

Ce tome est le dernier de l’histoire le Puits Solaire et conclut l’histoire en beauté. Il finit toutes les pistes évoquées dans les précédents tomes et satisferai tout ceux qui ont accroché aux précédents volumes.

Cet épisode est un peu particulier, car il est en noir est blanc pour évoquer les films policier des années 50. La narration est aussi fortement inspirée de cette époque dont elle reprend de nombreux archétypes.
Notons aussi que même si l’histoire paraît farfelue, c’est le premier épisode qui tente d’expliquer comment Martin a perdu son phare avant.
Comme l’épisode précédent, celui-ci est apparu pour la première fois en 2010 sur le DVD de Martin se la raconte. Il faisait partie des deux épisodes exclusifs du DVD car il n’avait jamais été diffusé sur le web ou à la TV contrairement aux autres.

Cet épisode est apparu pour la première fois sur le DVD de Martin se la raconte. Il faisait partie des deux épisodes exclusifs du DVD car il n’avait jamais été diffusé sur le web ou à la TV contrairement aux autres.

En regardant la lune, Martin se remémore la fois où il y avait été envoyé par la NASCA (National Automotive Space Car Association). Flash est très septique et imagine mal comment Martin a pu se retrouver dans une fusée.

Le tome 5 de Warcraft Legends reprend la recette des tomes précédents : 5 (et non plus 4) histoires indépendantes se situant dans le monde de Warcraft. Il finit l’histoire sur la mère de Thrall commencée dans le tome précédent (L’apprentissage d’une guerrière) et celle commencée dans le tome 2 : guerrière. Les Trois autres histoires sont Le premier gardien, Un feu purificateur et Cauchemars.

Flash voit passer un monster truck, ces gros 4×4 avec des roues géantes. Martin se laisse aller à une vague de nostalgie se remémorant sa période de catcheur. Les débuts étaient plutôt difficiles : entré sur le ring en tant que Martin le dépanneur, le commentateur avait mal lu son nom et l’avait transformé en Martin le Trépaneur.

Ce tome 4 reprend ce qui a fait la recette des autres tomes de Warcraft Legends : 4 histoires indépendantes avec des artistes différents dans l’univers de Warcraft.
Ce volume ressort de la collection grâce à la conclusion de l’histoire du tauren mort-vivant Trag dans le chapitre intitulé Destin. Il enchaîne avec des histoires se passant dans deux factions aimées de World à Warcraft : Le pirate de la voile sanglante (que les joueurs sont amenés à combattre à côté de Baie-De-Butin), le sang coule plus épais (avec la foire Sombrelune). La dernière nouvelle ravira les fans de Thrall car elle tourne autours de l’enfance de la mère du chef de la Horde.

Ce troisième tome de Warcraft Legends reprend les forces et les faiblesses de la collection avec 4 histoires indépendantes se passant dans l’univers de Warcraft.
Comme les autres volumes, il est composé de 4 histoires : Ennemi, Le Sang des Croisés, J’ai c’qu’il te faut et l’excitation de la chasse avec des styles allant du manga au comics en passant par le manwa. Le résultat est donc inégale mais conviendra à toutes les sensibilités.

Ultramarines est film réalisé par Martyn Pick dont l’histoire est basée sur l’univers du jeu Warhammer 40.000 de Game Workshop. Si ce film en images de synthèse est sorti directement en DVD, c’est parce que ses chances de séduire un public large sont extrêmement faibles, il est évident que le film cible un marché de niche, celui des joueurs qui connaissent bien l’univers du jeu de plateau (ou éventuellement du jeu vidéo).