Kaneda est le personnage principal du film et du manga Akira de Katsuhiro Otomo.
Kaneda est orphelin et un vaurien chef d’une bande de motard. Son meilleur ami Tetsuo va acquérir des pouvoirs psychokinésiques qui vont lui monter à la tête. Devenu un véritable danger public, Kaneda tentera d’abord de l’aider puis se résoudra à contre cœur à l’arrêter par tous les moyens.

Note : Kaneda peut aussi s’écrire Kanéda (avec un accent) suivant la transcription utilisée pour traduire du Japonais.

La série de manga Akira est une œuvre culte de Katsuhiro Otomo sortie au Japon entre 1982 et 1990.
Bien que sa publication ait débuté avant le film du même nom, sa conclusion a été publiée après la sortie en salle, mais l’histoire de film et du manga divergeant en de nombreux points, avoir vu le film n’empêche pas d’apprécier le manga.
 Akira fut l’un des premiers pas qui a amorcé la vague du manga en France.

Simone, une jeune femme Osamodas, arrive à la ville d’Astrub pour rencontrer l’antiquaire Kerubim. En passant dans le quartier mal famé, elle fait la rencontre de trois malfrats qui l’invitent à boire un verre avec eux. Peu intéressée par le manque de classe de ses prétendants, elle refuse poliment l’invitation et continue sa route. N’appréciant pas d’être rejetés, ils tentent de s’en prendre à elle et découvrent à leurs dépends qu’elle sait se battre.

Réalisés par Katsuhiro Otomo, Akira est un des mangas cultes qui ont participé à donner à la BD nippone ses lettres de noblesse en France à une époque où elle était particulièrement décriée. Son adaptation en film en 1988 a aussi marqué les esprits américains et européens, en démontrant que techniquement l’animation japonaise pouvait largement rivaliser avec les plus grands studios tels que Disney.

Pour beaucoup, Akira est un choc aussi bien esthétique que scénaristique. Son succès a permis de casser les aprioris sur la culture nippone et d’ouvrir un boulevard à d’autres œuvres japonaises.

Cet hors série est sorti en juin 2009 lors de l’Ankama Convention 4. Cette BD a été crée en complément du tome 11 de Dofus pour nous révéler le passé d’Hyrkul afin de nous permettre de mieux appréhender le personnage, sa puissance et surtout le danger qu’il représente pour Bonta.

La perle de Pandarie est la première bande-dessinée tirée de l’univers de Warcraft se situant dans l’extension Mists of Pandaria.

Dans un one-shot très touchant, l’histoire nous raconte les aventures de la petite Li Li à la recherche de son oncle Chen Brune-d’Orage perdu dans un monde qu’elle ne connaît pas : celui des royaumes de l’est et de Kalimdor.

Format : 282 x 185 mm (donc en longueur)

Daisy prend des cours à l’école des sorcières, elle y apprend la magie, les potions et bien sûr à voler sur un balais. Mais pour réussir à bien voler il faut beaucoup s’entraîner et parfois on finit par se crasher. Dans l’arbre où elle est tombée, elle fera la connaissance de Zouzou, un corbeau un peu bourru et très moqueur.
Après un premier contact peu engageant, il finira par lui montrer qu’il n’est pas si méchant. Il lui apprendra même à voler et de la découlera une belle amitié.

Aux trésors de Kerubim est la première série d’animation tirée de l’univers du jeu en ligne Dofus. Diffusée pour la première fois le 5 janvier 2013, elle raconte les aventures de Kerubim du temps où il était un jeune aventurier.

L’action prend place dans le Monde des Douze à une époque différente de celle de Wakfu puisque les évènement relatés se déroulent à l’âge des Dofus avant que le Chaos d’Ogrest ne détruise tout et ne fasse basculer le monde dans l’ère du Wakfu où Yugo et sa bande ont évolué dans la première série.

Akira est LE film mythique de l’animation japonaise en France. Auparavant seules les séries TV sortant à la chaîne étaient connues (avec l’image négative que l’on connaît), le film Akira fut une baffe pour toute une génération car il donna ses premières lettres d’or à l’animation japonaise avec un film techniquement très abouti, une animation fluide et une histoire prenant aux tripes réalisée par l’auteur du manga original : Katsuhiro Ôtomo. 

25 ans après la sortie du film, l’impact du film est toujours aussi fort.

Douze petits cochons s’apprêtent à fêter Noël, mais ils ne se doutent pas que tapi dans l’ombre, le loup se prépare à les manger. Il ne se sent pas concerné par l’esprit de bonté et de joie de ce cette fête. Noël ou pas, il compte bien se remplir la panse avec ces dodus porcelets. Alors qu’il les avait tous capturés, il trébuche sur le sapin et s’étale de tout son long. Pendant qu’il est assommé, les petits cochons auraient pu en profiter pour s’en aller, mais comme il est blessé, ils sont restés pour le soigner.

Le loup est bien ingrat, alors que les cochons l’ont aidé, il ne pense qu’à les dévorer. Comme il est incapable de bouger ou de parler, les petits cochons sont persuadés que le loup ne veut plus les manger, ils l’ont même pardonné. Ils fêtent Noël avec le loup sans se douter qu’ils sont menacés…
A moins que l’esprit de Noël finisse par le toucher.