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La Boxster 986 n’a pas vraiment eu les faveurs du petit comme du grand écran, pourtant la série animé japonaise Bakuman l’a mise en avant par deux fois. Malheureusement, on ne peut pas dire que son intégration soit un succès, le modèle regorge d’incohérences petites ou grandes.

A la fin du tome 1, Mirai a été trahi par la fille qu’il aime : Saki le transperce avec sa flèche rouge le rendant en théorie fou amoureux d’elle. Mais il l’était déjà et il ose enfin lui avouer ses sentiments. Cependant, le combat pour devenir dieu n’est pas fini, il reste encore beaucoup d’opposants prêts à tout pour gagner.

Ce tome 6 voit le héros Norito voyager vers l’île de Rin où il est censé rencontrer son destin. Toujours déchirée entre la voyante malade et une camarade de classe, il a également perdu son inspiration en travaillant sur des mangas erotico-comiques.

Après avoir réalisé une histoire sur la création de manga avec Bakuman, Tsugumi Ohba  et Takeshi Obata plongent dans le manga Platinum End leurs lecteurs dans un monde où le bien et le mal ont des limites floues. Les démons de Death Note laissent la place aux anges. Ces êtres proches de dieu ne sont pas aussi purs qu’annoncés par la bible et tentent les humains à faire des actions condamnables.

La sortie de Platinum End est également l’occasion pour Kaze de mettre en avant son service de diffusion de manga traduit juste après sa sortie au Japon.

Le manga de Norito Fushimi avance : après la validation de son scénario et de son découpage, il s’attaque au dessin et à l’encrage. Mais, il est toujours à l’école et la fête sportive de fin d’année se profile à l’horizon.

En parallèle, Rin est draguée par un camarade qui devient de plus en plus insistant.

Ce tome 4 de Rin est une suite directe du tome 3 : Fushimi est encore en boîte pour l’anniversaire du frère de sa camarade de classe Honda. Après avoir de nouveau rêvé du corbeau, il croise la route d’une diseuse de bonne aventure qui lui prédit des souffrances à cause d’une fille.

En plus du tournant résolument fantastique que prend cette histoire, ce tome est triste avec la description de la maladie de la mère de Fushimi et de sa sœur. Drame, comédie romantique, histoire d’apprentissage,  Harold Sakuishi se permet vraiment tout dans cette série !

L’éditeur de Fushimi le prend enfin au sérieux : après le dernier bon résultat du manga de Fushimi au concours Taurus, il lui demande de réaliser un manga comique mais érotique.

D’abord perplexe, Fushimi accepte de plancher sur une histoire qui conviendrait à son éditeur. Cependant, il n’a jamais dessiné de femmes nues et n’a aucune expérience dans ce type de publication. Alors, comment faire ?

Fushimi est un lycéen qui vit par et pour le dessin : il passe tout son temps libre à écrire, découper et dessiner des manga. Son talent et ses succès le mèneront à rencontrer Rin une lycéenne du même âge que lui qui a des pouvoirs  de divination.
Qui aurait cru que   Harold Sakuishi l’auteur de Beck ferait une histoire mixant Bakuman et Psychometer Eiji ?

A la toute dernière page du tome 1, notre apprenti mangaka Fushimi rencontre enfin Rin avec un début d’interaction étrange car la mannequin medium lycéenne est à genou avec une énorme douleur au ventre.

Ce deuxième tome de la série est l’occasion de poser des jalons pour la suite en prenant une direction différente que celle prévue grâce au mystère sur le dernier mot du mangaka Sawamura.

Après avoir fait un tour dans la musique avec le manga Beck et le théâtre avec,  Harold Sakuishi revient avec une histoire fantastique au scénario sortant de l’ordinaire avec la rencontre entre un aspirant mangaka de 16 ans et une mannequin medium.

Ce premier tome est clairement une introduction : les promesses font rêver mais l’histoire n’a pas encore atteint son plein potentiel car les deux personnes principaux ne se rencontrent qu’en fin de volume.