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A quoi pouvait ressembler la vie quotidienne des héros du film Dofus avant le retour sanglant de Julith ? La dessinatrice Mary Pumpkins tente de nous décrire cette vie bontarienne avec beaucoup d’humour dans style aquarellé dont la légèreté visuelle s’adapte à merveille au ton de cette BD. L’auteur se permet même de nous faire une révélation capitale, en nous racontant l’origine du fameux slip en laine de Jahash.

Jahash Jurgen est le fils de l’huppermage Juvence Jurgen et le frère aîné de Bakara, en revanche on ne sait rien sur sa mère si ce n’est qu’elle est absente du foyer ce qui laisse supposer qu’elle est probablement morte. Bien qu’il n’avait pas de grandes prédispositions pour la magie, il deviendra un huppermage très puissant ce qui lui vaudra de devenir le gardien du Dofus Ivoire et le protecteur de la ville de Bonta.

Plus tard, il épousera Julith (la gardienne du Dofus Ebène) avec qui il aura un fils nommé Joris. Malheureusement, il ne verra pas son fils grandir car il sera tué alors que Joris était encore un bébé. C’est Kerubim (un ami proche) qui l’adoptera et se chargera de l’élever comme son propre fils.

Jultih, surnommée « La Bouchère »,était une des plus puissantes huppermage de Brâkmar ce qui lui a valu de devenir la gardienne du Dofus Ebène. Elle a épousé l’huppermage Jahash et a eu avec lui un fils nommé Joris. Elle n’a cependant pas vu son fils grandir, c’est Kerubim Crépin qui s’est chargé de l’élever.

Atcham fait sa première apparition dans l’épisode 51 de la série Aux trésors de Kerubim. Son père n’est autre que le Dieu Ecaflip, ce qui veut dire qu’il est le demi-frère de Kerubim Crepin et Ush Galesh. En tant que demi-dieu, Atcham dispose de 9 vies. Il perdra la première d’entre-elles durant le film Dofus Livre 1 – Julith. A sa renaissance, il sera pris en charge par Joris qui va devenir son père adoptif.

Il n’est pas dans nos habitudes de chroniquer un livre de stickers, mais celui-ci vaut le détour car il pourrait même intéresser les dessinateurs en herbe en faisant office de mini art book. En effet, parmi les 250 stickers on trouve les personnages dans de très nombreuses poses, c’est une vraie mine d’or en terme de variété d’expressions. Parfois les stickers sont trop petits pour servir de modèles, mais dans la plupart des cas, ils sont assez gros pour qu’on puise voir chaque petit détails.

Dimensions : 14 x 0,8 x 19 cm
Nombre de pages : 40

Ce roman est tiré du film du même nom sorti en 2016 dont il reprend le scénario. La cité de Bonta est à nouveau menacée par la terrible Julith, responsable d’une violente attaque qui a dévasté une bonne partie de la ville et tué des centaines de personnes. Elle est revenue pour voler le Dofus Ebène qui lui avait servi lors de la première attaque. Le seul problème c’est que le Dofus a été brisé la dernière fois qu’elle l’a utilisé et que l’âme du dragon s’est échappée pour fusionner avec le corps de Joris. Avec l’arrivée de Julith, Kerubim a compris qu’il doit cacher Joris avant que Julith ne le capture pour récupérer l’âme du dragon qui est en lui.

Dimensions : 19,8 x 13,5  x 1 cm
Poids : 243 g

Étant jeune, j’adorai regarder les artbook japonais en me demandant si un jour je verrai des ouvrages d’une telle qualité tirés d’un film d’animation français, et bien aujourd’hui, c’est chose faite. Ankama avait déjà fait un très beau travail avec la collection d’artbook de la série Wakfu, mais ce recueil tiré du long métrage Dofus Livre I – Julith passe au niveau supérieur que ce soit sur le fond ou la forme.

Dimensions : 23,5 x 2,1 x 28,5 cm
Poids : 1235 g

Le jeune Joris a décidé de dresser Pupuce pour monter un numéro de dompteur de cirque dans le salon. Malheureusement l’autorité de Joris sur l’animal est inexistante, Pupuce ne veut rien faire de ce qu’il ordonne. Kerubim s’amuse des déboires de son fils adoptif, il sort alors de sa réserve un fouet magique qui lui permet d’exercer un pouvoir de contrôle sur n’importe quel être vivant. Quand Joris découvre qu’il a eu cet objet à l’époque où il travaillait dans un cirque, il demande à Kerubim de lui raconter cette expérience de saltimbanque.

En l’absence de Kerubim, Simone et Joris tiennent le magasin. Alors qu’ils s’occupent de deux clients, ils reçoivent un télégramme de Kerubim leur demandant de lui apporter le Décapiteur de soiffard. Les soiffards sont des espèces de zombis qui ont l’inconvénient de ne pouvoir être atteint par les armes conventionnelles. Simone en conclut que Kerubim est en péril et que seule cette arme peut vaincre ces zombis. Malheureusement, les deux clients ont tout entendu et décident de voler le coffret contenant cette puissante arme.

A la fête foraine d’Astrub, Simone parvient à gagner sur un stand de tir un familier à l’apparence adorable. En voyant la bestiole, Kerubim s’oppose fermement à ce que Simone ramène cet animal à la maison car il s’agit d’un Kanaï, une espère à laquelle il a déjà eu à se frotter. Il sait mieux que quiconque  que cette apparence inoffensive et mignonne cache un animal redoutable capable de créer des problèmes dans des proportions qui peuvent vite devenir incontrôlables. Bien entendu, Joris ne peut résister à l’envie de connaître tous les détails de cette histoire et pousse Kerubim à se lancer dans un récit.