Samedi 19 novembre 2011, écris par Charles-Edouard MANDEFIELD
L’expansion des serveurs privés touche de nombreux jeux en ligne et Dofus avec ses 2 millions de joueurs actifs représente forcément une cible de choix. Les serveurs privés ont proliféré au point qu’Akama a fini par réagir en embauchant une juriste à plein temps pour endiguer ce phénomène.
Les résultats ne se sont pas fait attendre et pour son second procès du genre Ankama a obtenu gain de cause au TGI de Lille. Le 17 novembre 2011 les deux administrateurs de Kay Paradize (19 et 20 ans) ont écopé respectivement de 8 et 18 mois de prison avec sursis assorti d’une mise à l’épreuve et d’une obligation d’indemniser Ankama pour un montant de 250 000 euros.
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Vendredi 19 février 2010, écris par Charles-Edouard MANDEFIELD
Vous vous demandez peut-être pourquoi Otakia se donne la peine de mettre la durée qu’il faut entre l’insertion d’un DVD et le début du film, c’est tout simplement parce que les différents menus et avertissements sont parfois tellement pénibles qu’ils peuvent devenir un frein à l’achat.
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La presse s’en donne a cœur joie pour rappeler, sous la pression des lobbys, que le piratage c’est pas bien et que les majors audio-visuelles vont toutes mourir dans d’atroces souffrances à cause des vilains pirates (même si au vu des chiffres record des entrées en salle pour 2009, c’est difficile à avaler).
Au milieu des cris de désespoirs des majors, on oublie peut être une autre victime du piratage : Les chaînes de TV qui voient une partie de leur audimat fondre à cause du piratage. Loin de moi l’idée de pleurer sur leur sort, mais comme j’ai toujours appris que pour résoudre un problème, il fallait chercher les causes plutôt que de s’en prendre aux conséquences, j’aimerai donc essayer de trouver les vraies raisons qui ont permis au fansub et au piratage de séries TV animées de se développer si vite (à part l’arrivée du haut débit).
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Alors que la tendance générale de tous les éditeurs jeux vidéo est de pointer du doigt le « vilain pirate » comme un irresponsable coupable de tous les maux de leur industrie, dans un discourt lui-même honteusement piraté sur celui de l’industrie du disque et du film, il arrive parfois qu’on entende au détour d’une conférence un autre son de cloche, un peu moins manichéen et surtout beaucoup moins naïfs.
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